Lorsqu’on parle de voyance actuellement, l’image qui vient spontanément à l’esprit évoque fréquemment un assemblée téléphonique, une consultation de voyance visuellement ou une émission nocturne dans un endroit de la TNT. Pourtant, un modèle plus occulte et étonnamment constatée s'étend à conséquente cadence dans une tranche d’âge qu’on n’aurait pas forcément identifiée d’emblée : celle des 18-25 ans. Le canal ? Le mail. La voyance par mail, longtemps perçue de la même façon qu'un dispositif secondaire ou un concurrence annexe, devient de nos jours l’une des portes d’entrée privilégiées de la jeunesse curieuse, à la recherche de explications et de repères. Ce phénomène, encore filet commenté, nécessite une précaution particulière. Non pas pour tomber dans les clichés ou les perceptions ouverts, mais pour voir pourquoi cette pratique touche actuellement une génération hyperconnectée, fréquemment qualifiée d’hyper-rationnelle, et cependant volontiers encline à tester, à ressentir, à amasser du sens d'une autre façon.

Contrairement aux stéréotypes qui réduisent encore la voyance à une activité de consultation voyance spectaculaire, la majorité des jeunes interrogés formulent appliquer la voyance par mail non pas pour savoir ce qui va manier, mais pour découvrir ce qui se produit. Ils ne souhaitent pas un scoop sur leur destinée passionnés ou leur futur professionnel. Ils recherchent une lecture. Une transcription. Un critique décalé. Nicolas, 23 ans, en école d’ingénieur, parle de ses échanges avec des médiums par mail par exemple de fenêtres voyance olivier visionnaires. Il pose des questions sur ses arbitrages de carrière professionnelle, ses dilemmes existentiels, ses relations parfois confuses. Il ne croit pas que le voyant puisse lui expliquer ce qu’il doit favoriser, mais il considère le retour en tant qu' un écho à ses propres intuitions, qu’il n’ose pas forcément être à l'écoute de. Il ne l’explique pas à ses proches. Pas par laideur. Juste parce que ce lien-là est silencieux. La voyance par mail n’est pas une injonction. Elle n’impose rien. Elle présente. Elle ouvre. Elle suggère. Elle met en signaux ce qui n’était qu’un eu pas sûr. Et cela suffit couramment à réaliser quitter une décision.